Breton écrit en 1920 dans le “Carnet” des Champs magnétiques : " Nous remplissons des pages de cette écriture sans sujet ; nous regardons s’y produire des faits que nous n’avons pas même rêvés, s’y opérer les alliages les plus mystérieux."

De l’expérience des Vases communicants telle que proposée par F. Bon et Scriptopolis et entretenue désormais par Marie-Noëlle Bertrand, nous testons le double et le mystère. Sur un sujet choisi, que surgira-t-il de soi, que surgira-t-il de l’autre ? Et puis quelle réaction, chimique, magnétique, matérielle ou rêvée, ce surgissement peut-il encore produire si on le donne à voir ailleurs, chez cet autre, personne -contexte-lieu d’écriture ?

Pour ce vasesco de février vasesco , Luc Comeau-Montasse me propose un échange sur le thème du surgissement poétique justement. Le blog des Mots sous l’aube permet une mise en scène étrangement adéquate à ce qu’il a cherché à dire. Son poème, ses traces floues, ses apparitions au gré des clics.

Et j’en profite pour le remercier de l’occasion qu’il m’a offerte de reprendre le grimoire de l’alchimiste

Ma participation ici :https://lelcaill.wordpress.com/surg...

......diego rivera

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