je n’ai pas lié à mon pas de chevalière de...
mardi 26 septembre 2017, par
je n’ai pas lié à mon pas de chevalière de course
je ne mesure pas la tension du mollet, la crispation des graviers sous la violence de l’effort.
je marche à la petite semelle, une insomnie, une échappée du clavier, la nuit m’attache au mors de feu d’une ampoule.
j’éclabousse en rocades d’ailes et effets d’arrosoir des graines lentes, des roupies de sansonnet
qui saurait rassembler ces syllabes glissant simples nues, dans les poches.
je chemine en mode mineur.
lente, lente lente