boîte à épîtres
intro
mardi 16 juillet 2013, par
étreinte de la fatigue , disait-il
oui je le sais, nos élytres immortelles sont couvertes de grisaille
pourtant, je tombe certes mais je ne suis pas ma chute, je chute mais ne suis ni la perte ni le chemin des bitumes. je sais bien n’avoir d’avenir que le fil déroulé pour des hélices du frêne. -mais qui verrait le vent sans moi- ?
mon aile lasse, mes épousailles de glissade au sol, pellicule
d’une saison d’arbre, très lentement gamelle et rejoint son pliage parachute. ce qu’il y a dedans demeure.
il y a une suite...