Au bistrot
mercredi 4 décembre 2019, par
La porte sonne. Le café potine, trois tours d’horizon.
Les dents clabaudent, gargarismes des idées dernier cri
Le dire cogne, verdict du poing sur la table
Vilebrequins du silence
Et moi en quel son vais-je m’enfuir ?
Je plie mon ombre en origami d’oiseau
Et le cœur dedans aux 4 coins rabattus
Fait un bruit de cancre qui bourrine,
Ce mystérieux vacarme des parasites
Messages
1. Au bistrot, 6 décembre 2019, 21:02, par aunryz
Parfois les parasites
sont le seul signe de vie
dans un monde où
le live
s’asphyxie